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Et
si on allait passer un week-end à Stockholm ? Et
hop en 3 clics sur Internet, une résa sur « Ryanair »,
pour
Flo, Eric, Céline et moi ! Dring! - « Bristol
Hotel, Anita - Hello, I’m
Alain from - Hi, Alain, It’s
done, see you soon» L’hôtel
était réservé. |
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Le jour J |
Vendredi
17h00, nous partons tôt mais cette semaine
avait vu la France sous une neige inhabituelle. Bourrasques,
congères, le départ vers l’aéroport de Beauvais est périlleux, allons-nous
pouvoir décoller ce soir ? Enfin
nous arrivons, le tumulte s’est calmé d’un coup, il ferait presque
beau ! mais ne serait-ce pas l’œil du cyclone ? |
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Beauvais – Stockholm Skavsta |
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Notre départ est prévu à 20h30, le temps
passe, le ciel menace de nouveau, très vite nous avons compris que notre
départ allait être plus laborieux que prévu. Nos estomacs réclament leur pitance. nous
nous restaurons dans cette minuscule salle d’attente où il est difficile de
trouver où s’asseoir et nous attendons désespérément le grand oiseau qui va
nous emmener vers le grand nord. A 22h00 le voila enfin et c’est avec 2
heures de retard que nous quittons notre cher territoire national pour nous
élancer vers la Suède que nous avions tant rêvée. |
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Arrivée à Stockholm |
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Arrivée à Skavsta
airport, nous nous dépêchons de récupérer nos
bagages et nous allons prendre nos tickets A/R pour Stockholm city. Ici l’hiver est bien présent même s’il ne
neige pas, tous est blanc. Le car démarre et 1 heure et demi après nous voici
à la gare centrale, très rapidement nous nous dirigeons vers notre hôtel, il
est 2 heures du matin et la ville est encore très active, les noctambules
sont légion. A l’accueil nous sommes attendus et après
de brèves formalités nous prenons possession de nos chambres, nous avons du
mal à trouver le sommeil tout excités que nous sommes et pressés d’être déjà
demain, il y a tant de chose à découvrir … |
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Visite de Gamla Stan |
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Samedi matin,8h00, le réveil sonne, une
douche rapide, la forme est là malgré la courte nuit. C’est l’heure du p’tit déj. Un typique breakfast local et nous
trouvons chacun notre bonheur. Puis nous nous équipons chaudement et hop
… dans la rue et nous nous dirigeons vers notre première destination Gamla Stan, la vieille ville de
Stockholm. Une
atmosphère toute particulière se dégage à peine a t-on dépassé l’imposant
édifice rose qui abrite le Parlement suédois, le Riksdag. |
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Déjà, on
aperçoit le Château, Kungliga Slottet,
et son aile, impressionnante par sa hauteur et sa masse de pierres grises.
Puis, on entre, par västerlånggatan, dans la
vieille ville. La petite île de
Helgehandsholmen abrite le parlement de Suède.
La rue qui va de Stockholm à Gamla Stan (la vieille ville) traverse le parlement via deux
arches |
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Gamla Stan est avant
tout le cœur historique de Stockholm, la fierté des suédois avec des ruelles
pavées, étroites et sinueuses exclusivement réservées aux piétons et où de
nombreuses échoppes se succèdent les unes après les autres. Les maisons sont peintes de couleurs chaudes
et lumineuses, comme pour défier le noir de la nuit hivernale et le blanc de
la neige. |
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En arrivant sur Stortorget, è on est
émerveillé tant par la beauté des maisons rouges et ocre à pignon qui la
bordent, que par son intérêt historique. En effet, cette
place centrale de Gamla Stan
a été le théâtre d’un des épisodes les plus terribles de l’Histoire suédoise
qui eut lieu en 1520, |
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appelé « le
bain de sang de Stockholm » où 82 notables soupçonnés de nationalisme
furent décapités par le Roi du Danemark, Christian II le tyran. Parmi ces hommes
figurait le père de Gustav Vasa, le futur Roi de Suède. Sur l'une des
façades de la place, on s’attarde et on remarque des pierres autour des
fenêtres. Ces pierres ont été là placées pour rendre hommage à ces victimes |
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Kungliga Slottet C'est le Palais Royal de Stockholm. Au
sommet de Slottsbacken, le Palais Royal est la
résidence officielle de la famille royale qui, en réalité, habite le
château de Drottningholm. Edifié au XVIIIe
siècle, selon les plans de Tessin le jeune, il pourrait rivaliser avec
Versailles ou Buckhingham Palace, |
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tant par le nombre de pièces (plus de
600) que par la magnificence de ses intérieurs. On y visite la salle du trône et les
différents appartements d'apparat accessibles par des galeries chargées
d'opulents trésors. Nous sortons enfin de Gamla
Stan pour rejoindre la baie de Nybroviken |
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La baie de Nybroviken |
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Les quais de la baie sont fréquentés sous
le soleil et le ciel bleu de ce samedi matin, Sur certaines portions de mer gelée des
patineurs badinent dans ce décor bucolique. La mer Baltique et les très nombreux lacs
gèlent et il devient alors possible |
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(en général à partir du mois de janvier) de
se promener sur la glace en plein cœur de Stockholm! Les Suédois pratiquent
beaucoup le patin à glace de randonnée. Les patins utilisés sont plus longs
que des patins classiques, permettant une glisse plus rapide et un confort
accru. La région de Stockholm est l'un des endroits au monde le plus réputé
pour ce genre de sport. Des pistes sont tracées sur certains lacs, permettant
ainsi de patiner même lorsque la couche de neige est trop épaisse. |
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En général, le
froid n'est jamais très intense à Stockholm. Les températures descendent peu
souvent en dessous de -20 degrés. La neige tombe rarement en grosses quantités
Quand vient
l'hiver, la magie de la neige et de la glace opère... La ville se transforme,
semble parfois figée par le froid... Après l'automne souvent très sombre, la
lumière, accentuée par la neige s'intensifie progressivement, réchauffant
lentement cet univers de glace. |
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Après avoir
visité la baie nous trouvons un petit troquet local où nous grignotons sur le
pouce et nous repartons vers … |
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Skansen |
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Skansen est un musée vivant. Il s’y passe
quelque chose de nouveau, chaque semaine, à longueur d’année. Tous les temps
forts de l’année, fêtes religieuses et civiles, sont célébrés dans la
tradition. L’été, il y a
des concerts de musique classique, d’opéra, de jazz, de musique pop et de
blues. La danse et la
musique folkloriques ont depuis fort longtemps leur place à Skansen et des présentations en sont données pendant
l’été. |
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On trouve à Skansen
quelque 150 maisons et fermes, amenées là des quatre coins de la Suède. La
plupart datent du XVIIIe, du XIXe
et du XXe siècle. Leur décor montre comment
vivaient, habitaient et travaillaient des personnes de différentes classes
sociales. Des guides-acteurs historiques en costumes
d'époque vous accueillent, prêts à évoquer pour vous la vie d'autrefois dans
la demeure que vous visitez. En hiver, il n'y a qu'un petit nombre de
maisons ouvertes, entre 11h et 15h. |
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La ferme d'Älvros Û se compose de plusieurs bâtiments: maison
d'habitation, écurie, étable, aire et bloc de dépendances. Ceux-ci encadrent
une cour rectangulaire. Le décor est celui d'une ferme du nord de la Suède au
début du XIXe siècle, mais les bâtiments eux-mêmes
sont plus anciens. La maison d'habitation est de type jumelé, comprenant une
entrée, une petite pièce au milieu et une grande pièce de chaque côté. |
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Le parc zoologique de Skansen
comprend quelque 70 espèces. C’est avant tout la faune scandinave qui y est représentée,
avec des animaux sauvages nordiques tels que l’ours brun, l’élan, le renard,
le lynx et le renne. |
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Le renne ã est un cervidé. Sa taille varie beaucoup
mais le poids moyen est d’une centaine de kilos pour un mâle et de 80 kilos environ
pour une femelle. Les rennes vivent en hardes et effectuent chaque année de
longues migrations entre les terrains d’estive et d’hivernage. Il n’y a pas
en Suède de véritables rennes sauvages ; ceux qui errent dans les montagnes
sont des animaux semi-domestiques, appartenant à
des éleveurs lapons (sami). Le renne se nourrit
l’été de plantes diverses, l’hiver de lichens qu’il dégage de la neige à
coups de sabots. L’enclos des rennes à Skansen
est voisin du campement sami. |
L’élan æest le plus gros mammifère suédois : un mâle peut peser
jusqu’à 700 kilos. Son pelage va du brun au gris foncé, ses longues pattes
étant d’un blanc grisâtre De ce fait, repérer un élan immobile dans une forêt
d’arbres aux troncs minces n’est pas toujours facile. Il y a environ 210 000
élans en Suède. On ne peut les chasser que durant une période déterminée à
l’automne. Une centaine de milliers de bêtes sont abattues chaque année |
Le
lynx â est le seul félin sauvage de Suède. Il pèse
de 15 à 30 kilos, les mâles étant plus gros que les femelles. Comme tous les
félidés, le lynx est un excellent chasseur. Ses proies sont des lièvres, des
oiseaux et des campagnols, mais aussi des animaux plus gros tels que daims et
rennes. Le lynx s’accouple en mars et ses petits naissent en mai. Depuis
1991, il fait partie des espèces protégées ; aujourd’hui, on en compte un
millier à l’état sauvage en Suède. |
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Races rustiques et autres animaux
domestiques |
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Le Musée Vasa (Vasamuseet) |
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Ce musée, inauguré en 1990, est absolument
unique en son genre. C'est une caverne en ciment, en cuivre, en verre et en
fer d'où pointent les mats du navire ; elle est savamment illuminée pour
montrer dans ses moindres détails le plus beau vaisseau fantôme jamais
retrouvé au fond des mers Scandinaves. Le vaisseau de guerre Vasa, équipé de 64
canons, sombra lors de son voyage inaugural en 1628. Unique au monde en son genre, le Vasa est
presque intact. |
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En 1628, ce bateau fut construit pour
répondre au souhait très fort exprimé par le roi Gustave II Adolphe qui
voulait en faire le plus puissant vaisseau de guerre Scandinave. |
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Hélas, à peine eut-il commencé à
naviguer, peu après son lancement, que ce bateau commença à s'incliner
dangereusement, au point de couler et de disparaître dans les profondeurs de
la mer. |
Son poids excessif et sa hauteur disproportionnée
furent la cause du désastre. Repêché en 1961, le navire s'était très
bien conservé en raison de la faible densité de sel dans cette mer locale … |
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… et de soigneux travaux de restauration
l'ont rendu au peuple Suédois en guise de précieux témoignage de l'art de la
navigation à voile de l'époque. |
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Chaque année, des millions de visiteurs
remplissent les galeries disposées sur sept étages pour contempler ce
vaisseau sous tous les angles et dans toute sa largeur (69 mètres). |
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Récemment, le musée s'est enrichi d'une
autre pièce importante : une des voiles originelles du Vasa, la plus vieille
du monde et parmi, les six récupérées, la plus petite. Elle se trouve dans la
galerie située au septième niveau. |
Le Vasa est le seul vaisseau du XVIIème siècle au monde à avoir été conservé. La
découverte de plus de 95 % des pièces d'origine et de centaines de
sculptures … |
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… ciselées à bord du Vasa en fait un
trésor unique et l'une des attractions touristiques les plus populaires au
monde. |
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Une fois notre
visite de musée terminé, la nuit nous rattrape et nous rentrons vers l’hôtel où
après une bonne douche, nous choisissons une bonne adresse de restaurant
local que le Routard nous conseille et le conseil est excellent tout comme le
décor et la nourriture que nous dégustons. Mais très vite
les efforts de la journée et la courte nuit précédente nous rappellent à la
réalité et Morphée nous tend bien vite ses bras et nous plongeons à corps
perdu dans la plénitude de nos rêves et la douceur de la nuit suédoise. |
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Ballade dans l’archipel |
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Ce Dimanche
matin, nous avons décidé de découvrir la Venise du Nord par la mer et
hop ! nous prenons le premier ferry du matin qui nous entraîne dans
l’ « archipelago ». La glace craque
sous la coque, le bruit est stressant, insoutenable, il nous faut aller sur
le pont pour ne pas imaginer le pire. |
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Et là, il n’y en
a que pour les yeux, le dépaysement est total. Quel pied ! Le bateau
s’éloigne du port et la grâce de la belle nordique nous apparaît soudain
comme féerique avec ses cuivres oxydés au sommet de ses monuments et avec une
harmonie insoupçonnée que l’on ne peut apercevoir que vu de la mer. Après avoir
contourné les abords du port, c’est plein est que nous partons et toute la
beauté des îlots qui composent l’archipel défilent devant nos yeux sous un
soleil hivernal qui donne des teintes et des contrastes imprévus. |
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Notre bateau
file bon train et la vitesse de ce dernier, ajoutée aux embruns qui nous éclaboussent,
nous donne la sensation d’être giflés par un froid pénétrant auquel nous
avons du mal à nous accoutumer. Heureusement
nous sommes couverts chaudement et le soleil éclatant nous fait un clin d’œil
sympa. ç Florence, Céline et Alain … une partie de cache-cache
…nez ! Il n’y en a que
pour nos yeux tant la beauté du paysage est sublime et le début de débâcle en
ce mois de mars rend notre périple des plus pittoresques. |
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L'archipel de Stockholm
(Skärgaarden) se compose d'un chapelet de
vingt-quatre mille îles et îlots dispersés sur une superficie d'environ 140
Km de long et 70 Km de large. Et cela à la porte de la capitale. Il est
difficile de connaître le nombre exact de ses îles, dont seulement 150 sont
habitées toute l'année. L'archipel
est aussi le lieu de villégiature préféré des Stockholmois ; les y attend
leur sommarstuga, maison de vacances pouvant aller
à la simple cabane en bois à la villa luxueuse. L'archipel est un moyen offert
aux amoureux de la nature de s'en rapprocher. On
divise généralement l'archipel en trois parties : le nord, le centre et le
sud, chacune ayant un visage particulier. Si les îles les plus éloignées sont
rocheuses et pratiquement dépourvues de végétation, celles du centre sont
boisées et plus souriantes. A Stockholm, on prend un peu le ferry comme
d'autres prennent le métro. |
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Les heures
passent vite et après avoir brisé de multiples sortes de glace c’est le
retour vers Stockholm et nous nous promettons tous les quatre d’y revenir en
plein été et de poursuivre notre découverte plus loin vers le golfe de Botnie
et pourquoi pas jouer les itinérants d’île en île. |
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Retour au bercail |
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Aussitôt notre périple
dans l’archipel terminé, nous prenons pieds sur le plancher des
« rennes » et allons récupérer nos bagages à l’hôtel avant de
rejoindre le car qui nous ramène vers l’aéroport. Le vol retour se
passe sans problème et à Beauvais la neige a fondu, les derniers
stigmates de l’hiver ont disparu, bientôt le printemps va se révéler et le
vert va vite prendre le dessus sur le blanc. Malgré tout cela
nos esprits sont encore pleins de souvenirs nordiques et dès le lendemain, au
boulot, c’est avec nos photos de la veille que nous entamons notre semaine et
nous n’avons de cesse de raconter notre périple à nos collègues qui, j’en
suis sûr, nous envient un peu. Entre nous ce
week-end en appelle d’autres que nous espérons aussi dépaysants et riches en
découvertes insolites. |
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